Un fullset bouclé en deux ans…
Souvenez vous, en avril 2015 j’avais débuté une série que je promettais régulière mais qui malheureusement ne le fut pas tant au vu de mon planning qui s’est considérablement alourdi au cours de ces derniers mois. Aujourd’hui, c’est non pas avec peine mais plutôt avec grand plaisir que je viens clôturer cette saga qui finalement a été bouclée en 4 petits épisodes. C’est une chose très rare pour moi de me lancer dans un full-set (intégralité des jeux sortis sur un support donné), avant cela j’avais expérimenté l’aventure sur la Supergrafx et son catalogue de jeux impressionnants de 5 titres… bref, je m’étais dit que j’allais partir sur un support plutôt exotique, c’est tout naturellement que je m’étais dirigé vers la version nippone de la Master System : la Mark III.
Le fullset Mark III, une expérience assez rapide !
Au final, le plus dur n’aura pas été de tous les collecter car 85 titres dont 1 promotionnel (que je n’ai pas, oui certains puristes diront que je n’ai pas le full-set ^^) ce n’est vraiment pas la mer à boire, surtout qu’on est très loin des prix abusés de certains supports bien qu’une poignée de titres commence à piquer légèrement… non le plus dur sur Mark III reste de les trouver complets et en bon état… Là j’ai encore quelques exemplaires à « upgrader » notamment 5 notices à récupérer, 9 boîtes à changer et 2 pochettes plastiques pour MyCards à retrouver… des broutilles mais quand tout sera mis à jour, le full-set sera vraiment joli !
Allez trêve de bavardage, place aux photos de groupe avec les MyCards que je vous avais déjà montré dans un précédent épisode, les voici désormais au complet avec les 14 exemplaires :
Place ensuite aux Gold (68) et Silver (2) cartridges ; également présentées dans un précédent article :
Pour être véritablement complets sur le sujet, vous remarquerez que sur cette version japonaise, beaucoup de titres mythiques de la Master System sont absents comme par exemple Sonic, Psycho Fox, Castle of Illusion, Alex Kidd in Shinobi World, Moonwalker… bref, du gâchis encore une fois que SEGA n’ait pas plus appuyé sur le potentiel de cette machine avant de lancer la Mega Drive alors que sur le marché européen, celle-ci a quand même réussi à se créer un nom malgré le raz-de-marée de Nintendo avec sa NES.